Une journée à flâner dans Marrakech – Visites et Adresses à retenir

Comme je le dit toujours, un peu d’histoire nous permet de mieux apprécier les visites :

• 1919 : L’artiste Jacques Majorelle s’installe au Maroc avec sa femme pour des raisons de santé.
• 1923 : Il achète un terrain à la limite de la palmeraie de Marrakech.
• 1931 : L’architecte cubiste Paul Sinoir lui construit la fameuse villa. Atour de sa demeure, Jacques passionné de botanique, y développe un luxuriant jardin.
• 1937 : Jacques Majorelle introduit les couleurs vives et primaires, sur la villa et dans le jardin.
• 1947 : L’artiste ouvre le jardin au public moyennant un droit d’entrée, pour l’aider à entretenir son jardin.
• 1955 – 1961 : deux accidents grave handicapent l’homme, au point de le mettre dans une difficile situation financière. Il vend sa propriété avant de s’éteindre en France en 1962.
• 1966 : Yves Saint Laurent et Pierre Bergé découvrent le jardin lors d’un voyage au Maroc et en tombent amoureux.
• 1980 : Ils achètent la propriété alors qu’elle allait être détruite pour en faire un hôtel. Ils habitent la villa, qu’ils appellent Villa Oasis. Ils entretiennent tout deux ce lieu pour poursuivre l’oeuvre de Jaques.
• De 1999 à nos jours : 135 espèces de plantes y sont plantées, l’atelier du peintre est transformé en Musée berbère,
• 2008 : Au décès d’YSL, ses cendres y sont réparties dans le mémorial du jardin.

Déjeuner sur les toits terrasses, dans les souks de Marrakech

Profitons du soleil sur un des toits terrasses des souks, et d’un bon déjeuner pour se détendre un peu. Nous avons choisi le Nomad qui se trouve sur la place des épices, au cœur de la médina, en face du café des épices. J’ai adoré ce restaurant, qui offre une superbe vue sur la place des épices, et les toits de la média, la déco est épuré, l’ambiance est cool et le personnel très sympathique. Les plats sont raffinés, vous aurez le choix. Moi j’ai choisi une dorade grillée qui venait tout droit d’Essaouira, ne me demandait pas comment elle a fait pour arrivée dans mon assiette, mais accompagnée de légumes du soleil, et de quelques épices, j’ai bien pris le temps de la déguster avec mon petit verre de blanc, et surtout j’ai pris le temps de déguster l’instant.

• Comptez une vingtaine d’euros pour une plat et un verre de vin, c’est un peu plus cher que dans la rue, mais ça vaut le détour.

Puis nous sommes aller prendre notre café, bin… au café des épices à y être… et si vous aimez le café comme moi, testez le café épicé (expresso) c’est délicieux!